Turner et le Rhône, des carnets « géographiques »
Résumé
Dos veces (1828 y 1838) WilliamTurner viajo aguas abajo del río Rhône de Lyon haya Avignon camino de Italia.En una barca la primera vez, en un barco de vapor la secunda, el hizo sin cesar bosquejos de los paisajes del río, de sus orillas, de los pueblos, de los castillo del valle en dos cuadernillos de bolsillo, que enseñan la curiosidad y el agudo de su mirada, la destreza de su mano y su sed de recolectar recuerdos gráficos. De eso a sacado también al menos dos acuarelas que se contraponen en su obra: la primera en Avignon es muy naturalista y narrativa, ilustrando su primera formación como pintor "topográfico"la secunda en Viviers es al contrario una rellamada evocadora de un paisaje cambiado en un tema de primer plan, impregnado por las formas características del paisaje rhodanesco y de sus propias sensaciones como viajero.
A deux reprises (1828 et 1838), William Turner a descendu le Rhône en bateau de Lyon à Avignon pour se rendre en Italie. Sur un coche d'eau la première fois, sur un bateau à vapeur la seconde, il a saisi en continu des croquis des paysages du fleuve, des rives, des villages, des châteaux de la vallée sur deux carnets de poche, qui montrent la curiosité et l'acuité de son regard, la dextérité de sa main et sa soif de collecter des souvenirs graphiques. Il en a tiré aussi, au moins, deux aquarelles qui font contrepoint dans son oeuvre: la première à Avignon est très naturaliste et narrative, illustrant sa première formation de peintre "topographe"; la second à Viviers est au contraire une recomposition évocatrice d'un paysage devenu un sujet de premier plan, imprégnée des formes caractéristique du paysage rhodanien et de ses propres ressentis de voyageur.
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